kiki
Mascotte
Nombre de messages : 3176
Age : 38
Localisation : en salle 4 ...
Emploi/loisirs : pirate de compagnie
Date d'inscription : 15/05/2008
 | | Sujet: Rp Aeris 3/3 Jeu 10 Juin - 16:40 | |
| - Citation :
En ces quelques lignes, je vais essayer de vous faire vivre une Bataille historique, un Combat d'anthologie, appelé le légendaire ou champion, pour moi il va bien au-delà.
Pourquoi me direz-vous? De par les flottes engagées bien entendu, mais aussi de par les joueurs qui vont s'affronter dans ce duel. Et bien sûr, de par les chiffres qui vont vous faire rêver.
Je suis d'ailleurs à cours de palabre, par où commencer? Suis-je à la hauteur de l'événement? Passé ce moment de doute, il est temps pour vous de me suivre, de nous suivre à travers cet Univers ancien que certains trouvent mort, mais qui arrive encore à nous surprendre.
Ce texte est l'épilogue de ma trilogie « Noir » :
Prologue
La Suite
,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,
Moab se promenait seul dans une ruelle sombre, il devait réfléchir et pour cela rien de mieux qu'un endroit humide et froid où la lumière ne parvenait que trop rarement. Dehors c'était le printemps, une saison qu'il n'aimait guère. Même si avec les beaux jours, les gens se montraient moins méfiant, plus laxiste et il pouvait que plus facilement laisser libre cours à ses pulsions dévastatrices .
Malgré tout, il ne se sentait pas à l'aise avec ce temps, ni avec son époque. Il regrettait les jours heureux de notre Univers comme tout à chacun.
« Pourquoi? (Oui il parlait à voix haute, ici personne ne pouvait l'entendre et ça lui permettait de reprendre le contrôle de son esprit, de son corps)
Je ne comprend plus Nosfe, ces derniers-temps il ne pense plus qu'à une chose. Moi aussi j'en ai envi mais est-ce bien raisonnable?
Le risque en vaut-il la chandelle?
Dire qu'il a convaincu les Lyz de nous suivre dans cette folle aventure, et maintenant c'est Eux qui en redemandent, ils sont insatiables – Nous sommes insatiables – et maintenant un autre dingue nous as rejoins.
Peut-on le faire ? »
Un bruit de pas, il est temps pour moi de filer. Les heures, les jours passent... Et toujours rien ne se passe. L'hésitation, le doute prend le pas dans ma tête.
Et alors que je n'était pas préparé, pas prêt à me battre _ il était trop tôt_ un événement vient me forcer la main. Et je ne peux y résister, c'est trop tentant. Je suis peut être plus faible que je ne l'imaginais.
J'avais été contacté par l'un des hommes de Resus, moi et d'autres. Il avait convenu comme lieu de rencontre un ancien entrepôt dans le quartier latin.
Le choix de ce lieu était symbolique pour Nous, et un défi de plus destiné à notre adversaire. Le quartier latin, appartenait aux Corleones depuis toujours. Il fut un temps où pour y pénétrer il fallait montrer patte blanche.
Et parfois ça ne suffisait pas, on ne compte plus les hommes et les femmes qui sont passés à trépas après avoir croisé un Corleone.
Mais les temps avaient changé, l'un des « vilains » était parti sous d'autres cieux, les autres restaient pour la plupart cloitraient sur leurs propriétés. N'assistant que rarement aux réunions. Les Corleones étaient sur le déclin.
Vous me direz qu'il leur restait encore l'une des plus grosses Gâchettes de l'univers, mais ses apparitions publiques se faisaient plus rares, un certain manque de motivation je suppose. Même parmi les siens, on reconnaissait qu'elle commettait plus d'erreurs qu'à l'accoutumée. Sa consommation de deute avait chuté, certains de ses plus fidèles farmers avaient rejoins des contrées plus verdoyante.
Elle devait se croire à l'abri, après tout qui serait assez fou pour aller la défier sur son propre terrain de chasse. Oubliant que par le passé, elle avait toujours profité des erreurs de ses ennemis.
La réunion pouvait commencer, l'entrepôt avait été contrôlé, les entrées étaient gardées, l'intérieur était « propre », j'entends sans micro ni rat, ni taupe. Pour le reste, c'était de l'entrepôt classique, délabré la où il le faut, rouillé comme tant d'autres. Une bonne planque quoi.
Était présent cinq Hommes se connaissant, plus ou moins. Ami ou ennemi peut importait aujourd'hui. Ils se tenaient en respects, chacun connaissant la réputation de l'autre ; dehors, en public, il n'aurait pas oser se montrer sous leurs vrai jours.
Mais ici les choses étaient différentes, ils avaient tous les mêmes besoins primaires à assouvir, besoin que jamais un paysan ou un trader ne pourraient comprendre. Détruire, et recycler. C'était des prédateurs, de terribles prédateurs et pourtant on ne peut que les admirer.
Comme les flammes de l'Enfer, cet amalgame de couleurs vives nous font rêver et des fois nous commettons l'irréparable, s'approchant d'elles pour mieux les observer, quitte à ce brûler.
Resus prit la parole en premier,
« Tout d'abord, je tiens a vous dire que certains n'ont pu assister à notre réunion. Leon, des mains crades et La Gomme des PavO ne pourront être des nôtres. Ils s'excusent et le regrettent mais ont d'autres affaires à régler de leurs côtés.
Jig devait être là, malheureusement, il a été prit dans les bouchons, une grève des cheminots (^^) fait qu'il ne pourra pas être avec nous dans les temps. Nous devrons faire sans lui.
Mes amis, nous sommes donc seuls. Êtes-vous avec moi? »
Un tour de table, chacun regardait son voisin de gauche puis de droite, dans leurs yeux la même motivation, la même soif
Pas besoin de réponses.
Néanmoins, Resus laissa à chacun le temps de réfléchir, de respirer et d'analyser la situation. Il regarda tour à tour chacun des membres de cette Opération.
Schnappi était le seul qui avait l'air décontracté, il rigolait, faisait le pitre, la pression n'avait pas l'air de l'atteindre. C'était déconcertant.
A l'opposé de lui, Dio était renfermé, réfléchissant à toutes vitesses sur tout ce qui allait pouvoir se passer dans les prochaines heures, calculant les distances, les temps, les troupes nécessaires. Rien ne lui échappait, n'oubliant aucunes données, aucun détails. Cette facette de son personnage était effrayante.
Resus savait que sous cette froide apparence se cachait un ami fidèle, prêt à tout pour défendre l'intérêt de ses Amis. Il était fier d'en faire parti.
Il continua à regarder ces hommes et arriva sur les deux derniers du groupe, il avait du mal à les comprendre. Les PavO, on aimait les railler et pourtant on s'en méfier.
Moab avait le regard vide, son passager noir avait pris le contrôle de son corps, comme à chaque opération. Il le laissait agir : efficace et sans doute.
Le dernier homme du groupe prit la parole, pas qu'il aime particulièrement ça, seulement il devait voir en Eux, juste pour savoir jusqu'où ces derniers étaient prêts à aller.
Nosfe était de Noir vêtu ce qui accentué la pâleur de son teint. Sa voix grave refroidit encore l'atmosphère, même Schnappi parut déstabiliser. Tout le monde le regarda.
« Ce qui compte ce n'est pas d'où viennent les gens, mais où ils vont, et Moi Nos4a2 je sais où je dois me rendre.
J'espère que vous le savez aussi. Il est encore temps pour vous de partir, après il sera trop tard. Nous ne ferons pas marche arrière. »
Personne ne bougea, Nosfe ne doutait pas de leurs motivations à tous ; mais bon valait mieux le rappeler à tout le monde.
« Aeris Corleone aussi connu sous le nom de Freyja est surement le plus gros gibier qu'il m'est advenu de traquer, à moi comme à vous.
Individuellement, nous sommes plus faibles, c'est une quasi-certitude. Ensemble, réuni, sous la même bannière nous pouvons l'écraser. Je ne dis pas que ce sera facile ou sans perte, beaucoup d'entre nous périront (Moab n'aurait jamais du refaire ce discours au près de ses pilotes... lâche^^), mais ceux qui reviendront seront plus grand, et plus fort. Nous avons notre billet pour l'Olympe et en 1ère Classe mes amis.
Aeris est responsable de la chute de beaucoup de nos amis ou connaissances, deux pirates ont perdu leurs flottes à cause d'Elle. Cela fut long, mais il est temps de reprendre ce qui nous appartient. »
Ils étaient tous décidés, chacun prépara le deute nécessaire à l'opération. Le Passager Noir lança sa flotte en premier, envoya les invitations pour le groupé. Les autres envoyèrent leurs flottes, Schnappi, Dio, Nosfe et enfin Resus.
Ils étaient tous réunis, tous les cinq. Pas directement bien entendu, ils avaient rejoins leurs QG respectif afin d'être sûr que leurs ordres seraient respectés à la Lettre, mais par le biais d'un astucieux système de télécommunication holographique.
Et comme à chaque fois, les traits de caractères de chacun ressortaient, Resus, Moab et Schnappi faisaient les pitres, pas qu'ils ne prennent pas au sérieux l'affrontement à venir, mais c'était le moyen qu'ils avaient trouvé pour garder leurs calmes.
Dio vérifiait et revérifiait que tous les détails de leur plan était au point, il savait que tout était au point mais il le fallait, faire et refaire, voilà ce qui le calmait.
Nosfe les regardait, il faisait de bons compagnons, mais il le savait aujourd'hui ils étaient alliés mais demain serait un autre jour.
L'affrontement allait commencer, chacun partit remotiver ses troupes. Moab comptait les troupes qu'il avait envoyé, il partait de plus loin que les autres aussi avait-il laissé le lourd à quai. N'envoyant que ses vaisseaux les plus rapides, néanmoins un détail sur le radar la paralysa.
Une partie de ses vaisseaux, que dis-je la totalité de sa flotte de Traqueur, la deuxième plus grosses flottilles de l'univers n'était pas à l'endroit où elle aurait dû être.
Il demanda au Commandant de celle-ci de s'expliquer, un jeune capitaine ambitieux répondit, « Monsieur, nous avons subit une révolte, des hommes que dis-je une bande de pleutre à renversé le commandant, et a tenté de s'enfuir.
Nous avons réussi, moi et certains de mes collègues, à reprendre le contrôle de la situation. Malheureusement, nous ne pourrons rattraper le reste de la Flotte, même si nous mettons toute notre puissance pour le faire. »
Moab était soucieux, jamais au grand jamais, ses hommes s'étaient rebellés contre lui ou contre l'une de ses décisions, même quand ces dernières étaient difficilement compréhensibles.
Fallait-il qu'il prenne cette infamie comme un signe du destin? Il était trop tôt pour y répondre, ce n'était ni le lieu, ni le moment. Il reprit ses esprits.
« Je vous félicite Commandant pour votre fidélité. Menez à bien votre combat »
Le capitaine … je veux dire le nouveau commandant était fier. Il alla remotiver ses troupes, les derniers renégats furent téléporter à l'extérieur du vaisseau, dans le vide sidéral, une mort affreuse les attendaient.
Moab expliqua rapidement la situation, ne révélant pas la tentative de putsch qu'il avait subi, et mettant le retard de sa flotte sur une avarie technique. Comme il en arrive tant.
Les autres étaient sous le choque, les pertes seraient plus lourde mais Dio annonça que malgré tout ils seraient toujours rentable.
Nosfe garda son flegme, il savait que ce n'était point une avarie technique, pas à Moab. Mais ce n'était pas le moment de contrarier son ami. Ils auraient le temps d'en discuter plus tard.
------ RC----- à effacer.
Tous les cinq étaient unis en ce jour afin de rendre un hommage unanime à la légende d'Aeris. Peu d'entre nous la connaissez réellement, et pourtant son nom résonne dans nos têtes, ses derniers Hofs remontent déjà à plusieurs mois et pourtant personne ne l'a oublié.
Les uns la congratule, la flatte, les autres l'insulte ou l'envie. Quoi qu'il en soit Aeris n'est jamais passé inaperçu, nous montrant son talent au fil de ses Hofs.
Des polémiques, des compliments mais au final cela ne nous importe peu, Freyja ou Aeris reste et restera pour chacun d'entre nous l'une des plus grandes joueuses de notre Univers.
En espérant qu'elle revienne plus forte et plus motivée que jamais, afin de nous démontrer à nous tous qu'elle est toujours au firmament.
Dernière édition par kiki le Dim 13 Juin - 15:18, édité 1 fois | |
|
